Prendre conscience que l’on n’est ni parfait ni totalement heureux n’est pas une faiblesse. C’est un constat très sain qui n’a rien à voir avec le manque de confiance en soi, l’apitoiement sur son sort ou une vision pessimiste de la vie. Une telle prise de conscience conduit à une nouvelle appréciation des priorités de l’existence, à un sursaut d’énergie que, dans le bouddhisme, on appelle renoncement, mot souvent mal compris et qui exprime en réalité un profond désir de liberté. »
Si vous voulez approfondir le sujet je le développe dans l’ouvrage « Plaidoyer pour le bonheur »#citation #bonheur #liberté